lundi 3 septembre 2012

[Videotest] Painkiller

Haaa, les FPS....Avec les survivals et les points & clicks, ca doit faire parti de mes favoris. Après tout, ce sont des jeux assez immersifs, mine de rien, et qui permettent de se défouler bien méchamment quand on a passé une sale journée au boulot, dans le train ou sur la route et dans les embouteillages......
Bon, plus sérieusement, il y'a quelques années, quand j'étais encore un jeune freluquet, je zonais sur pas mal de FPS de chez Raven et Id Software: Doom, Hexen, Heretic, Wolfenstein 3D, Soldier of Fortune (Juste le 1er, hein.......J'ai jamais aimé les suites), et puis, il y'en a eu d'autres. Je me rappelle particulièrement d'un qui s'appelait "Requiem: Avenging Angel" où on incarnait un ange descendu sur Terre et adepte des méthodes de combat badass et bourrines à souhait. C'était des FPS avec un gameplay et des ambiances très particulières qui leur donnait un certain cachet.

Je vous laisse donc imaginer ma réaction lorsque Painkiller avait été annoncé. Son ambiance badass entre enfer et paradis, ses légions de monstres qui vous attaquaient par paquet de 30, voire 40, comme dans Serious Sam.....


En clair, l'histoire de Painkiller est simple mais mystérieuse: Vous y' incarnez Daniel Garner, homme marié, heureux et apparemment sans histoire. Un soir, sous un temps pluvieux, il prends la route en compagnie de sa femme pour l'emmener au restaurant, mais terrible coup du sort, le couple est tué lors d'une collision avec un poids-lourd, les tuant net.
S'en suit alors une longue période de 30 ans après les événements, ou Daniel est retenu quelque part, entre enfer et paradis, alors que sa femme a déjà rejointe les jardins d'Eden. Se pensant oublié, Daniel est contacté par Sammael (Non, je me suis pas gouré, c'est bien "Sammael" avec 2 "M"), envoyé de Dieu qui lui propose un marché : Une place au paradis, contre une mission d'extermination dans les limbes (Ou un monde équivalent, mais très ressemblant au notre, en tout cas)

Daniel est sceptique: Pourquoi n'a il pas le droit d'aller rejoindre sa femme?
Réponse: Il n'est pas "Pur" (D'ailleurs, c'est un des points noirs du jeu.....On ne saura jamais véritablement de quoi Daniel est accusé......On aurait aimé le savoir) et pour pouvoir se laver de ses pêchés, il est necessaire qu'il parte en mission, en guerre sainte, en somme. Finalement, il décide d'accepter le job, et le voilà donc laché dans les limbes, parti pour lutter contre l'armée de Lucifer et ses 4 généraux.

Bon, disons le tout de suite: L'histoire, même si elle est présente, l'est peu, et ne sert que de pretexte au carnage. Ici, on est là pour tuer sans se prendre la tête. Pas de clés à ramasser, pas de blabla inutile, juste des niveaux qu'on explore de façon linéaire et où on décalque du démon de façon badass. Avouons que c'est jouissif de voir un ennemi s'envoler après avoir pris une décharge de calibre 12 à bout portant.
Bref, simple, mais génial et addictif, avec une ambiance immersive, une B.O de fou alternant entre ambiant et metal, un bestiaire vachement étoffé, des boss bien gigantesques........UNE PUTAIN DE VALEUR SURE DU FPS.........pas comme certains jeux parfois "sur-estimés", que je ne citerais pas. Je vous laisse maintenant avec le videotest de Painkiller. Je rajoute également l'intro du jeu, absente dans mon videotest, histoire que vous compreniez un peu plus. (L'intro n'est pas de moi et accuse un sacré coup niveau framerate)